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mercredi 6 mars 2013

Je chine dans la littérature romanesque d'antan

Les gens chinent généralement des meubles, bibelots, objets d'art et de décoration divers. Moi, je suis en train de chiner dans les romans d'amour populaires d'avant et entre les 2 guerres, c'est-à-dire les ancêtres des Harlequin d'aujourd'hui, destinés exclusivement à un public féminin. Je sais, je sais que c'est bizarre et archi-ringard, mais je suis dans ma période Nostalgie. Ca me fait un replongeon dans mes années d'ado où je lisais ce genre de romans de gare sentimentaux où les personnages principaux sont toujours très beaux, de noble naissance (roturiers s'abstenir) et de moralité irréprochable, ces romans qui finissent toujours en "happy ending". De nos jours, seules les plus de 55 ans se rappelleront des auteurs comme Delly, Max du Veuzit, Magali...